C’est depuis un excès préhistorique, en 2015, que la brasserie officie au nom et à l’esprit de Niton : ce rocher lémanique, déjà autel pour cultes ancestraux et, entre temps, repère topographique erratique.
Et si les anciens dieux du léman ne nous tombent pas avant sur la tête, notre voyage vers le cœur de la planète gazeuse, tout comme le nom et l’improbable emplacement de la pierre, resteront sous l’influence de Neiton : le diable des anciens vaudois.
Fermentée à basse température, la Niton Blonde développe l’amertume du houblon au même temps que les notes fruitées du malt genevois pour devenir une typique bière de désoif. D’une bière, deux coups.